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 muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung]

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muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung] Vide
MessageSujet: muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung]   muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung] EmptyLun 22 Fév 2010 - 1:39

    Quel vue magnifique, quel chance d’être capable de voir un tel spectacle visuel en ce jour… c’est ce que ressent notre blondinet alors qu’il observe la citée du haut de la tour. Quelques touristes, quelques couples et des employés s’y trouve, chacun font leur petites affaire sans ce soucier véritablement des gens qui les entours. Il est fou de voir que même en plein cœur d’une foule il est possible de se sentir un peu seul. Espérant trouver une muse au sommet du monde, ou du moins à l’endroit le plus près des cieux qu’il peut accéder physiquement, notre protagoniste contemple le monde qui l’entour. Une grande vitre le sépare du vide, mais bon ce n’est pas comme s’il avait l’intension de faire un retour brutale sur terre. Il ce sens certes seul par moment, mais n’allez tout de même pas qu’il est sur le point d’être suicidaire ! Oh mais c’est que le monde, la vie, c’est que tout est bien trop beau pour vouloir en finir ! Il ne peut vivre sans avoir connu l’amour, et l’espoir de connaître l’amour véritable – une romance parfaite – fait en sorte que son cœur bat chaque jour.

    L’amour lyrique, l’amour poétique ou romanesque, ça il connait. Mais vivre et lire ce n’est pas la même chose ! Oh certes il possède la capacité des rédiger des textes passionnés, fous tel un cœur enflammé, mais ils sont vides! Ce ne sont que des textes, des mots, des rêves sur papier. Baudelaire à bien écrit l’amour, mais il l’a aussi connu – avec le désespoir et la douleur certes, mais il l’a bel et bien connu ! L’amour est beau, l’amour est tragique, mais lorsqu’il est vrai cela importe peu. Les couples qui l’entour, quel genre d’amour vivent-ils ? Cet endroit est-il pour eux un endroit de plus afin d’exprimer leur affection l’un pour l’autre ? Certes ils ne vont pas jusqu’à totalement exhibé au grand publique le fruit de leur passion, mais alors qu’ils sont main dans la main, le regard au loin – quatre yeux et une seule direction – n’est-ce pas magnifique ? Il ne les jalouse pas, enfin pas littéralement. Il est vrai qu’il souhaite connaître la romance, mais pas au point de jalouser son voisin.

    Enfin, en même temps ce n’est pas dans le but de trouver l’amour qu’il est venu ce réfugier au sommet du monde… mais plutôt afin de faire le vide en son esprit, laisser l’ambiance, le monde inspiré sa poésie. Qui sait, peut-être qu’une muse viendra murmurer à son oreille le hit qui fera de lui un artiste connu… ou peut-être une chanson qui demeura qu’audible pour les quelques auditeurs des trous piteux de Séoul. Certains artistes furent que connu après leur mort, de leur vivant ils mangeaient avec les rats et laissaient généralement l’hiver dévorer leurs os – est-ce que cette même destinée lui est réservé ? Il existe toujours l’option de tenter de vivre de son petit travail de jour, ou de demander de l’aide à ses parents, mais non. Borné, peut-être même un peu trop, J n’est pas exactement du genre à laisser tomber ses rêves ainsi. Papa et Maman ne seront pas toujours présents pour l’aider et à son âge il doit être capable de s’occuper de lui-même, non ? Ne serais-ce pas assez pitoyable à 22 ans – ne dite pas son âge à personne – de toujours vivre chez ses parents ?

    Bref, poursuivons. Ses sombres prunelles perçant le vide, le visage démontrant une certaine sérénité, qui pourrait dire qu’en lui tant de chose ce produises ? Qui peut voir qu’en lui, qu’en son esprit, qu’en son cœur, les émotions et les songes s’entremêlent ? Des mots, des verres, des proses et poèmes… sont cœur en chante silencieusement en ce moment, mais rien de cela est suffisamment intense pour lui… muse où es-tu ? Il chante sans toi… viens en lui donner un sens à sa poésie…
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MessageSujet: Re: muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung]   muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung] EmptyLun 22 Fév 2010 - 15:27

    La douce brise de vent faisait danser les cheveux de NaYung. Le vent était doux, très agréable. Il soulevait les jupes des filles et virevoltait entre les passants. A cette hauteur il n’était pas rare d’avoir une petite brise légère et agréable. En effet, NaYung se trouvait sur la tour de Séoul qui dominait la ville. D’ici, on pouvait se permettre d’imaginer tous un tas de folie : de croire toucher les nuages dans le ciel, ou encore de dominer le monde. La jeune Nana s’imaginait pousser des ailes, embarqué par le vent et envouté par la beauté du spectacle. Elle s’imaginait être un oiseau, volant dans les nuages qui décoraient le bleu du ciel. Elle respira un grand bol d’aire frais et observa les gens autour d’elle.

    Elle n’était pas venue ici seulement pour avoir la possibilité d’observer Séoul, elle c’était armée de son – inséparable - appareil photo. Elle comptait bien prendre des clichés des passants. Surtout qu’il y avait toujours un tas de monde sur ce gratte-ciel. Des hommes d’affaires discutaient, des familles se promenaient, il y avait aussi des couples main dans la main. Oui, il parait que ce lieu était extrêmement romantique… -Pff-. De toute façon, Nana était une célibataire endurcie, l’amour elle ne connait pas, elle ne s’en souciait pas non plus. Pour elle c’était un sentiment qui faisait plus de mal que de biens, elle ne voulait pas s’encombrer avec ça, enfin, quand sa lui tombera dessus on verrat bien ce qu’elle dira la jeune Nana. Après tous, elle à encore le temps non ?

    Bref, elle avait le regard rivé sur les passants, elle prit quelque photographie d’un père montrant à sa fille le paysage, ainsi que d’un couple de personne âgée (Trop mignon). Elle prit aussi une photo de la foule, c’était étonnant comment les gens étaient indifférent les un aux autres. Personne ne se souciait de son entourage -Seulement de sois même- . Nana Scruta autour d’elle chaque passant, personne ne prenait le temps de se regarder. C’était sa aussi être photographe : prendre le temps de regarder autour de sois, d’espionner les visages des gens et d’essayer de descripter à travers un regard, un sourire, un trait de visage, tous les sentiments d’une personne, pour ensuite l’imprimer sur une photo.

    Elle remarqua un jeune homme, blondinet, avec un style qui se différenciait un peu. Il dégageait quelque chose de différents des autres passants. Il paraissait seul, pensif, comme si il cherchait quelque chose, ou attendais quelqu’un mais, que rien ne se produisait. Cet homme étai un peu comme fascinant, du moins du point de vue de notre Nana, il avait un visage doux et en même temps remplit d’expressions, d’émotions. NaYung le voyait déjà comme une proie parfaite pour être photographié. Elle était inspirée. Elle prit quelques clichés de loin, le clique-tique de son appareil sonnait comme une douce mélodie. Puis, petit à petit elle s’approcha de l’homme. Elle n’était plus qu’a quelques mètres seulement. A cette distance, si elle prenait des photos il allait forcément la remarquer. Souvent, les gens n’aiment pas ce faire photographier, particulièrement si c’est par une parfaite inconnue. NaYung s’approcha encore un peu et décida d’aborder le jeune homme, après tous peut être que par la suite, celui-ci accepterait que la jeune Nana prenne une photo de lui…
    De plus, une rencontre de plus pour NaYung était que du positif pour elle, elle ne conessait pas grand monde, ici, à Séoul. Et ce jeune homme avait un air particulièrement intérescent.

    NaYung : « Vous avez l’air pensif. »

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MessageSujet: Re: muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung]   muse... où es-tu ? [With Kim Na Yung] EmptySam 6 Mar 2010 - 2:06


    Le regard distant à la recherche des muses au loin, J observait le néant des cieux afin d’y trouver l’inspiration. Le chant des muses ne lui parvenait pas à l’oreille malgré son éloignement de l’acoustique chaotique de la citée. Là haut, si près et si loin de tout à la fois, le blondinet demeurait impassible et intemporel alors qu’autour de lui, seconde par seconde, le temps s’écoulait. Certes physiquement, comme tout être vivant à demeurer en place ainsi il finira par subir les effets du temps, toute fois son état d’esprit lui demeure stable et inactif en ce monde. Il ne pense pas ? Oh bien au contraire, nombreux songes jonglent dans sont esprits alors qu’il cherche dans son chaos intérieur le chant d’une muse qui lui sifflera les prochaines paroles de sa poésie. Les murmures discrets des gens qui l’entour sont devenu un bruit de fond qu’il a placé en sourdine, seul les sons provenant de son esprit parvienne à ses capteurs auditifs. Un chant, un air, un simple sifflement pourrait être le début de toute une série mélodique, mais ce début il doit d’abord le trouver en lui.

    Un regard sombre, un œil extérieur pourra sans doute croire qu’il s’agit d’une âme amère et mélancolique, mais ce n’est point le cas. Songeur certes, possiblement même solitaire, mais aucune tristesse est en lui. Enfin, il arrive que les balades produites par son esprit ne soient pas à l’eau de rose et respirant la joie, cependant notre protagoniste n’est point pour autant un être dont l’âme et le cœur pleure larmes et sangs. Il recherche tout simplement ce qu’il croit être la perfection de la romance et cela peut importe quel visage qu’il aborde. Et oui, à ses yeux la romances peut autant être magnifique que terrible, joviale que triste – chaque chose en soi possède son propre opposé. Enfin, chaque chose possède sont opposé en ce monde, il s’agit là d’une des règles incontournable de la vie, le monde possède sa propre balance, son propre karma – la romance ne fait point exception à la règle.

    Enfin il est évident qu’il ne pourra point demeurer éternellement ainsi dans ses songes. D’ailleurs, une voix finie par le faire sortir de son monde. Douce, portant tout les traits de la féminité – chose normal lorsque l’interlocutrice est une demoiselle – elle ne lui murmura certes pas une mélodie, mais plutôt une question – non une constatation ! Avait-il piqué la curiosité de cette inconnue ? Sans doute, sinon pourquoi serait-elle venue jusqu’à lui et démontrer verbalement ce qu’elle eut constatée chez notre protagoniste ? « Vous avez l’air pensif » furent les mots exactes utilisés, l’air simplement l’air, un air sans paroles car ses pensés ne possédaient aucune organisation ! Un être réellement pensif possède en ses songes une certaine organisation, un but, un point A et un point B – ce n’est pas son cas. Il ne pense pas, il recherche, il patiente, il attend. J s’observe intérieurement, tend l’oreille vers les muses, mais elles ne lui répondent pas. La seule voix, certes digne d’une muse, qu’il eut audit, fut celle de la demoiselle qui l’interpela par son affirmation.

    Détachant son regard du vide absolu afin de le laisser s’effondrer en douceur sur le visage à qui appartient la voix, notre protagoniste eut comme réaction automatique de sourire un peu. Pourquoi ? Il n’en sait que trop rien, possiblement légèrement amusé, intrigué à son tour par cette étrangère. Il observa cette fois-ci cette dernière, sans toute fois la scruté du regard comme une machine analysant chaque détail physiologique. Ce dernier ce contenta simplement d’éléments clefs, la forme du visage, les yeux, les lèvres, la coiffure, de façon très brève sa posture et puis son attention fut porté sur l’appareil photo qu’elle possédait avant de revenir aux regards une dernière fois.

    -Je ne songe pas… j’attends.

    Il ne songe pas, il attend les muses… il patiente, mais dit comme cela hors contexte il est possible de croire que notre blondinet sera bientôt en bonne compagnie. Avec une phrase comme ça, il est fort probable qu’autrui puisse se sentir comme dérangeant, mais ce n’est pourtant aucunement le cas. Il continua toujours avec un léger sourire, très léger du coin des lèvres, rien de trop jovial mais démontrant tout de même un certain bien-être. À son tour de faire une constations, de rendre la pareil, rétablir le karma de leur conversation.

    -Photographe ?

    Un seul mot, mais son regard continuation la phrase lorsqu’il laissa une fois de plus tomber ses prunelles vers l’appareil avant de remonter vers le visage. Enfin, de la façon dont le tout fut mentionné, il s’agissait plutôt d’une question à laquelle il possède la très évidente réponse – mais bon une question rhétorique est souvent un bon moyen de débuté une conversation à propos d’un fait ou d’une impression.


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