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| | | Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] |  |
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![Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) | Sujet: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] ![Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Jeu 31 Déc 2009 - 4:02 | |
| Après avoir découvert que son patron n'était autre que le con du lycée, après se retrouver, de nouveau, dans cette famille infernale qu'était la sienne, et après avoir eu la confirmation que Min Hwan n'était plus dans le pays, Ban avait, en moins de vingt-quatre heures, déjà l'envie de retourner aux sources, si ce n'était à Tokyo même. Dans le salon, et de bon matin, elle avait pianoté furieusement sur la télécommande à la recherche d'une chaine du pays, avant de se faire déloger par l'intégralité des Kiriyama, désireuse de regarder la rediffusion d'un truc appelé Family Outing -parce que, kyaaah, Dae Sungie, et que, hyaaaah, Jong Kooka *Insérer ici une dizaine de coeurs du genre fan en délire*.
D'un air blasé, elle avait regardé son père prendre place à côté des deux autres femmes de la maison, l'air tout aussi enthousiaste -« Ca se trouve, on finira par voir Hyori à poil ! »- : aucune pitié pour le dernier jour de tranquillité des martyrs =.=
Se sentant de plus en plus nécessiteuse d'une compagnie plus adaptée à son état, elle détourna les yeux de l'émission abhérrante de nullité qui commençait, et les baissa sur le répertoire de son portable, juste pour confirmer qu'il était bien là. Car en l'absence de Min Hwan, il n'y avait qu'une seule personne capable de ne pas l'énerver, voire de la distraire, et de ce qu'elle savait, il était toujours ici, à Séoul. Enfin, il avait intérêt, parce que sinon, elle le poursuivrait jusqu'au bout du monde, et sûrement pas pour lui faire gage de son amour, oh que non è.é Elle s'était décidée à ne pas envoyer de message, ni à lui téléphoner : que deviendrait son image de tyran si elle se laissait aller à de telles choses, hein ? è.é
« Tu vas voir le charmant Min Hwan ? »
« Han Min Hwan ? Ramène-le ici, ramène-le ! »
« … =.= Non, j'vais voir... »
« C'est vrai qu'il est beau. Tu te rappelles de la dernière fois où il est venu ici ? »
« Et qu'il a mangé avec nous ? Bien sûr que j'm'en rappelle, on s'est effleurés le bras ! *o* »
Attrapant sa veste après un dernier regard blasé à la famille -parce qu'en plus, à en parler comme ça, il lui manquait cet imbécile =.=-, elle avait fait disparaître son ensemble Jour de Congé n°7, soit un jean bien coupé, et un pull fin, en s'y emmitouflant chaudement, avant de prendre la première paire de tennis qui trainaient, et d'aller affronter le froid sans même réaliser à quel point le thermomètre était descendu. Ils n'auraient pas pu la faire muter au printemps, non ? =.=
Elle n'avait pas pris la peine de prendre le métro -cet imbécile habitait sûrement encore dans ces quartiers de riche, situés à plus de cinq minutes, temps limite qu'elle s'autorisait à passer dehors, de la station la plus proche-, et héla un taxi qui passait dans le coin. Si Masaru n'était pas chez lui, elle le trucidait, c'était décidé.
Débarquant devant chez lui avec le pas du tyran, elle avait sonné comme une personne normalement constituée devait le faire, et patiemment attendu quelques secondes avant de s'impatienter, et de frapper à la porte. Mais qu'est-ce qu'il foutait ce con ? è.é
Et enfin, la porte s'ouvrit. Relevant les yeux vers lui, elle avait simplement dit, sans se soucier de l'état de surprise de son interlocuteur :
« J'espère pour toi que t'as des Pocky è.é » |
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| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Jeu 31 Déc 2009 - 14:19 | |
| Matinée calme. Un bon lit bien chaud, quoi de mieux hein ? Masaru, le petit singe, se tournait et retournait dans ses draps, un sourire béa sur les lèvres. Que c'était bien d'être dans son lit. Akio, le petit frère bien chiant l'avait réveillé dans la nuit parce qu'il avait fait un cauchemars. Digne de s'appeler Akira² ! Il venait faire chier son frère dans son sommeil profond, la crise qu'il avait piqué pour aller dans le lit de son frère. Heureusement, le lendemain, le petit s'était réveillé avant tout le monde. Aujourd'hui il sortait avec monsieur et madame Lee. Génial, il serait seul toute la matinée.
Il était bientôt dix heures quand Masaru se décida à se lever. Il enfila son pantalon, trainant le pas il se dirigea vers la cuisine. Il prend une bouteille de lait dans le frigo et se sert, tout en baillant et passant sa main libre dans ses cheveux ébouriffé. Il avait l'air chouette >< ! Cherchant désespérément des Pocky dans l'armoire, il eut un sourire quand il mit enfin la main dessus. Que c'est bon les Pocky <3
Il fut interrompu dans sa joie quand il entendit la sonnerie d'un portable. Oh, c'était celui d'Akio. Il l'avait oublié ? Masaru fit une découverte en lisant le nom de l'appel manqué. Un nom de fille... Oh, mais il ne lui en avait jamais parlé ? Le jeune japonais demanderait explication à son petit frère ! Impossible de laisser passer ça ! Non mais, après Akio osait lui demander des comptes sur une quelconque petite amie, non mais ! Il avait quoi dans la tête le petit pour cacher une chose si importante !
Soupire; puis sourire amusé.
Il ouvrit la boite de Pocky et en amena un à sa bouche. Qu'est-ce que ça pouvait lui faire du bien de manger ses trucs en chocolat pas bons pour le poids. Il alluma la télévision, avant de s'affalait dans le divan, verre de lait en main, Pocky sur la table du salon, télécommande dans l'autre main. Il faudrait, aujourd'hui encore, travailler son coréen. Le mieux était de regarder des dramas. On dit souvent qu'on retient mieux si on aime.
Il posa la télécommande à côté de lui, pour prendre la boite de Pocky, il en saisit un et commença à le grignoter tel une souris. Il était bien devant sa télé, seul. Mais là, il vit le jeu vidéo qui avait bercé son enfance au Japon. Street Fighter. Qu'est-ce qu'il avait pu y jouer avec la tyrannique Ban. Un long soupire se fit entendre, avant qu'il ne n'aille prendre une douche. Sortant une dizaine de minutes plus tard, les cheveux encore mouillé il redescendit pour aller chercher de quoi s'habillait. Une serviette sur la tête, il n'eut que le temps d'enfiler son caleçon.
Il entendit la sonnette, il prit son peignoir au passage et l'enfila vite fait, mais ne prit pas le temps de serrer la ceinture. Découvrant son torse, pas tellement musclé.
Puis on frappa. Impatience. C'était sûrement Akio qui venait récupérer son portable, pas de panique. Masaru ouvrit la porte avec un sourire, qui disparût bien vite. Il referma la porte aussitôt.
O_O ! Masaru poussa un gémissement, il s'était fait mal en plus. Mais plus important, pourquoi la fille qui était derrière la porte ressemblait comme deux gouttes d'eau à Ban.
Impossible. Ce n'était pas elle !
Il soupira et rouvrit la porte, il avait sûrement des hallucinations.
OMYGAD !
B....B....BAAAAA....BAN ?
Excusez-le pour cette surprise visible. Mais qu'est-ce qu'elle foutait à Séoul, elle qui n'aime relativement pas les coréens. WHY ? Et comment elle avait l'adresse de Masaru ? Est-ce qu'elle venait pour le martyriser, lui foutre sa pater à Street Fighter, lui bouffer sa réserve de Pocky ? Ou encore lui parler de son amie qui ne sait pas choisir entre Kevin et Alexander ? MAIS !! Pourquoi elle était ici ? Elle voulait encore lui envoyer le ballon jaune caractéristique du ballon pour jouer à la balle aux prisonnier ? « J'espère pour toi que t'as des Pocky è.é », option Pocky !
Euh... Ouais, y'en a dans le placard.
Masaru ? T'es pas un peu à moitié à poil ?
Mais qui s'en soucierait ! C'est pas comme si Ban allait le violer hein...
Tout ce qu'elle pouvait faire c'était... ce foutre de sa gueule. Oui, lui dire qu'il était faible physiquement. Et lui dire que c'était une fillette... C'est bien le genre du tyran qu'est Ban.
Les jeunes de nos jours...
Entre...
Il était resté devant la porte, mais Ban ne s'était pas gêné pour s'enfourner dans la chaleur de la maison Lee. Il ferma la porte, toujours sous le choc. Il se dirigea vers le divan, le verre de lait toujours sur la table, à côté de la boîte de Pocky à peine entamer. La télé allait encore fort. Un drama, sûrement. Mais Masaru était toujours sous le choc de voir Ban ici. Elle n'était pas censée être au Japon ? Mais >< !
Bref, Masaru comporte-toi en homme, ne soit pas désagréable. Et puis elle risquerait de te le faire payer très cher. Oui, Ban est une fille qui fout vachement les jetons !
Qu'est-ce qui t'amènes ? |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Ven 1 Jan 2010 - 15:19 | |
| Ainsi donc, même Kumakiri Masaru mettait des caleçons. Oui bon, dit comme ça, c'était une réflexion ridicule, mais Ban n'avait jamais franchement imaginé le bonhomme en tant que véritable mâle : alors le voir là, maintenant, en sous-vêtements et le torse à moitié découvert, c'était comme découvrir une autre facette de Monsieur, d'habitude autrement plus réservé. D'ailleurs, si elle continuait à le fixer comme ça, elle risquait de le faire rougir, et mouahaha que c'était bon.
Du coup, t'es en train de dire que là, tu le mates intentionnellement, histoire qu'il se sente mal à l'aise ?
Ben quoi ? Fallait bien marquer le coup des retrouvailles è.é
Mais s'il croit que tu vas le violer ?
Eh ben, euh... Impossible, il n'y avait aucune baignoire à portée è.é Et puis de toute façon, Masaru, c'était juste le gamin qu'elle martyrisait en primaire, et envers qui elle se sentait donc redevable d'une sacrée dette. Oui, parce qu'elle s'en sentait toujours un peu coupable, c'est qu'on était traumatisé facilement quand on était môme x.x Imaginez qu'il en ait développé une phobie des femmes, hein ? A cause d'elle, il ne trouverait jamais le bonheur et terminerait dans le caniveau sans le sou, à maudire Kiriyama Ban qui lui avait pourri la vie :/
Enfin, d'un revers de Pocky, elle balaya ces considérations, soupirant de soulagement à sa réponse positive, esquissant même -attention les yeux- un début de sourire ravi. Certes, elle avait un stock de Pocky chez elle qui prenait sûrement la moitié de sa chambre, mais survivre quelques heures sans alors qu'elle venait à peine de quitter Tokyo, c'était définitivement impossible.
Pour un peu, elle lui aurait presque dit un truc gentil du style « Heureusement que t'es là ! », mais se contenta de se faufiler à l'intérieur sans qu'il ne l'y invite.
Hey, les Japonaises, c'est pas sensé être un minimum polies ?
Si, mais là, c'était Masa, pas la peine d'en faire toute une histoire de politesse à la con è.é
Comme quand elle entrait dans toute demeure de riche qui se respectait, elle ne put s'empêcher de jeter un regard sur le salon classe, la décoration recherchée, et tout le toutim dont elle rêvait elle aussi en secret, et ce même si elle y était déjà venue. On était bien loin de l'appartement Kiriyama, où l'on se dormait les uns sur les autres x.x
Après un discret soupir, elle se retourna vers lui, attendant cette fois d'y être invitée avant de s'asseoir -imaginez que la belle-famille ne soit en fait dans le coin.
« Tu te souviens de ce type, Hwang Tae Min ? »
Et comment qu'il devait s'en souvenir x.x A l'époque du lycée, et même les années suivantes, elle l'avait bassinée sur cet enfoiré qui lui pourrissait la vie à l'école, lui décrivant ses projets de torture, de meurtre, mais surtout pas de viol.
Elle se laissa aller contre le rebord du canapé, et laissa tomber son sac à terre, fixant de nouveau Masaru, qui pourrait de fait lire l'air blasé de sa compatriote.
« J'suis à ses ordres. Le mec, son père en fait, pour qui je bossais avant m'a mutée en tant qu'assistante, ici à Séoul. D'où le besoin immédiat de Pocky et de Street Fighter x.x »
Et puis, de lui aussi ? Non, parce que nous, on sait tous très bien qu'il t'a manqué, le petit Masaru è.é |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Sam 2 Jan 2010 - 16:45 | |
| ( désolé c'est pas génial x_x )
Masaru... Ne restes pas devant la porte, tu vas attraper froid o_o !
Pourquoi il est tout rouge d'un coup ? Ah ! C'était sûrement le regard de la tyrannique Ban qui fixait Masaru, qui ne portait rien à part son caleçon et son peignoir, pas fermé. C'était diabolique de le fixer avec ce regard pervers. Mais de toute manière, au fond, Masaru savait qu'elle faisait ça exprès, parce qu'elle ne lui sauterait jamais dessus. D'ailleurs le japonais se demandait même si à part jouer à Street Fighter et servir la miss en Pocky, il servait à grand chose ? Ah ! Si, il servait aussi à écouter les discours et les plaintes de Ban.
Mon dieu, c'était tellement vrai ! Pauvre Masaru qui ne servait que te passes temps pour la japonaise. Mais en même temps, passer du temps avec Ban était amusant... Enfin, quand elle ne le tyrannisait pas. Au fond, Masaru était peut-être mieux comme ça.
Interrompu dans ses pensées, Masaru regarda alors Ban, tout en fermant la porte.
Non, elle ne s'était jamais gênée d'enter comme ça. Surtout chez Masaru. Mais imaginez que monsieur et madame Lee soient là. Elle aurait eu l'air bien conne. « Tu te souviens de ce type, Hwang Tae Min ? » . Comment ne pouvait-il pas s'en souvenir ? Elle le bassinait pratiquement tous les jours avec se coréen. À croire qu'elle l'aimait... Enfin, remarque, avec ses idées de torture, ce n'était pas franchement de l'amour.
Soit ! Masaru hocha la tête en signe positif pour répondre à Ban.
« J'suis à ses ordres. Le mec, son père en fait, pour qui je bossais avant m'a mutée en tant qu'assistante, ici à Séoul. » Masaru, tu veux mourir ? Non ? Bah ne rit pas comme un idiot. Il laissa échapper un « pas de chance », avant de reprendre ses esprits et de s'affaler devant la télé. Il regarda Ban et entendit la fin de sa phrase « D'où le besoin immédiat de Pocky et de Street Fighter x.x » . Elle aimait les pocky et jouer à Street Fighter tant que ça ? Et Masaru dans l'histoire. Croisant les bras il fit légèrement la moue puis ne pût s'empêcher de sourire.
Il désigna le jeu du doigt
Justement je pensais à toi. En le voyant je me suis dit que ça serait sympa si tu étais là pour y jouer avec moi. Et voilà que tu débarques ! Tu crois que j'ai des super pouvoir ?
Masaru marqua sa phrase par un fou-rire.
Oui, il riait tout seul, comme un bébé. Mais c'était assez amusant, ce genre de coïncidence. Il avait une légère envie de voir Ban pour jouer à Street Fighter et également pour ne pas bouffer ses pocky tout seul et comme par magie, elle était là. Elle devait lire dans ses pensées. Mais entre japonais, n'est-ce pas normal ! Haha !
Il regarda à nouveau la japonaise, avec un sourire béa. Puis il se leva pour insérer le jeu dans le lecteur de la XBOX. Il jouerait avec Ban, alors que ça faisait depuis qu'il était parti pour Séoul qu'ils ne s'étaient pas vus. Mais ça n'importait que peu. Pour Masaru, avec tous les coups de fil que Ban lui passait, c'était un peu comme s'ils ne s'étaient jamais quittés. Même si Ban appelait souvent pour des conseils qu'elle donnerait soi-disant à ses amies.
Oui, Masaru n'est rien d'autre qu'un enfant bien crédule.
Avec un sourire, 38 bis, il regarda Ban en lui tendant le paquet de pocky, l'ouverture vers elle, pour qu'elle puisse se servir. Puis il s'enfonça dans le divan avec un long soupire. Il riait intérieurement. Ban en esclave ? Ça devait donner tien. Le tyran tyrannisé ! Mais Masaru savait bien qu'il fallait éviter de rire, sinon elle se vengerait sur lui.
Remarque, Masaru court vite, il arriverait peut-être à s'enfuir loin de façon à ce que Ban ne le rattrape pas.
Mais Masaru restait là, assis sur le divan, pocky en main, sourire aux lèvres et à moité nu sous son peignoir juste posé sur ses épaules.
Il tourna sa tête quand il entendit le bruit du générique qui annonçait que le jeu allait bientôt démarré.
Plein de conviction il regarda Ban...
Attention, je gagne tout le temps contre mon frère !
Akio n'était pas doué aussi... Mais bon ! Laissons croire Masaru qu'il peut gagner... |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Dim 3 Jan 2010 - 18:44 | |
| Nous protestons ! Le pauvre Masaru n'était pas seulement une oreille attentive aux râleries de Ban, pas plus qu'il n'était qu'un simple fournisseur de Pocky et de Street Fighter. Si elle n'avait eu besoin que de ça, elle aurait pris le premier ajhussi complètement sourd qu'elle aurait croisé, et lui aurait raconté tous ses malheurs en lui bouffant ses peppero, c'était aussi simple que ça. Et oui, bon, elle l'avait déjà fait une fois, c'est vrai =.= Mais tout ça pour dire que le petit nippon qu'elle avait maintenant en face d'elle, et qui rougissait d'ailleurs comme une vierge -qu'il était de fait ? Désolée, le contre-coup des ondes perverses de Jung Woo sûrement =.=-, c'était un ami, un vrai, qu'elle n'utilisait pas selon son bon plaisir. Sinon, elle en aurait déjà fait un esclave personnel è.é
Quand elle lui raconta la crasse qui lui tombait dessus, il se contenta d'un « Pas de chance. » dit sans grande conviction lui parut-il -la faute à son rire d'imbécile, elle pariait =.=. Légèrement surprise, elle le regarda s'installer devant la TV, laissant planer un léger blanc dû au choc. Elle était si chiante que ça, quand elle racontait sa vie ? x.x C'est qu'elle avait attendu un minimum de compassion, ou en tout cas, autre chose qu'un brusque changement de sujet qui lui donnait une totale impression de « j'en ai rien à cirer ». Pas de grands épanchements du genre « Oooh ma pauvre chérie, viens-là que Papa te fasse un câlin <3 », mais au moins quelque chose qui la fasse se sentir un peu plus... Considérée, au final. Ou alors, une connerie du style « Si tu veux, on va lui casser les dents è.é » ? Ouais, ça, ça aurait été cool. Mais comme on ne pouvait pas choisir les réponses des autres, elle se contenta d'afficher une moue légèrement contrariée, faisant écho à celle de son ami.
Note à elle-même : à l'avenir, garder pour elle toute réflexion se rapportant à Tae Min, ou à un quelconque malheur ne touchant pas autrui.
Passant néanmoins rapidement à autre chose, elle esquissa un sourire en apprenant qu'il était doté de dons dignes de Superman, avant de passer à son tour par dessus le dossier, et de se laisser tomber dans le creux du canapé, après une légère tape derrière le crâne de Masaru.
« Si tu veux avoir plus de succès avec les filles, évite de rigoler tout seul, baka è.é »
Hey, c'était pour son bien !
Elle se saisit de sa manette, la caressant avec un air éperdument amoureux, et eut un large sourire lorsqu'elle vit la Xbox s'allumer, évocateur du « Mouahahaha » interne qui la saisissait. Ca faisait tellement longtemps qu'elle ne lui avait pas mis sa pâtée à Street Figher *o*
Elle prit le pocky qu'on lui proposait, et le grignota en un éclair, béate de bonheur. Ne manquait plus qu'un Min Hwan et des rolls, et le tableau serait définitivement parfait *o*
« Tu parles mon vieux, j'vais te mettre la raclée du siècle ! »
…
« Mais dis-moi, tu comptes rester à poil, ou tu vas finir par t'habiller ? J'ai peur que ça m'excite au final :/ »
Ban !
Hey, elle avait le droit, ça faisait trop longtemps qu'elle ne l'avait pas emmerdé ! Et qu'on vous rassure encore une fois, elle était loin d'être sérieuse. Son type à elle, c'était plutôt avec un sale caractère, grand, bien bâti, et...
Elle secoua la tête quand une certaine image, franchement déplaisante, vint s'imposer à son esprit. Non mais hey, c'était pas l'autre con qu'elle était en train de décrire là ! è.é |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] Mer 6 Jan 2010 - 13:41 | |
| Le canapé, quelle belle invention confortable !
De quoi je parle ? Haha ! Mais du canapé ou divan, dans lequel était assis Masaru et Ban. Deux japonais qui se retrouvent, ça donne une partie de Street Fighter. Même si l'un d'entre eux, Masaru - pour ne pas citer, était complètement conscient du fait qu'il allait perdre. Mais, ça remonterai le moral de Ban de l'écraser à plat de couture. Oui, Masaru n'en avait pas « rien à foutre » du malheur de la tyrannique Ban, celle qui lui avait toujours lancé des ballons rond et jaune en pleine poire. Changer de sujet était sa manière à lui de faire oublier ses malheurs à Ban.
De toute manière, nous sommes d'accord pour dire que Masaru n'est pas doué. Maladroit et tête en l'air. En plus, c'est vrai que son « pas de chance » avait un air un peu « je-m'en-foutiste ». Mais son sourire tout mignon était là pour s'excuser, non ?
« Si tu veux avoir plus de succès avec les filles, évite de rigoler tout seul, baka è.é ». La phrase de Ban l'avait ramené sur terre. C'est vrai qu'elle n'avait pas tort d'un sens.
Hey, mais tu ne dis rien Masaru ?
Remarque, à quoi bon... Ban a toujours pensé que Masaru était un « baka » et elle ne s'était jamais vraiment gênée pour le lui dire. D'ailleurs, il l'entendait tellement souvent qu'à force s'était devenu comme un surnom dont on n'arrive jamais à se détacher. En fin de compte, ce surnom n'était pas si méchant que ça. Et puis Ban n'était pas aussi méchante que ça...
Je m'avance trop peut-être ? (a)
T'aurais voulu un câlin ?
Phrase qui tue. Masaru t'es mort
Et puis d'où sort cette phrase sans queue ni tête ?
Juste parce que Ban avait fait la moue quand son « pas de chance » était sorti tout seul... Il est vrai que Masaru n'assures pas, mais pas de quoi faire la tête ? Si ? Mais non voyons ! éè
Et puis, ce n'est pas the end of the world non plus ! Restons positif.
La partie aller commencé et Ban avait jeté son air boudeur pour un sourire... sadique ? Remarque, nous sommes d'accord pour dire que Ban fait peur... Haha !
Non, je ne veux pas mourir !
« Tu parles mon vieux, j'vais te mettre la raclée du siècle ! »
On verra bien éè !
Oui, sauf que tout était vu. Masaru allait se prendre la plus grande raclé du siècle. Avec Ban c'était toujours la même chose; the winner is Ban & the loser is Masaru. Mais notre petit singe croyait réellement que jouer contre son petit frère - qui, je précise, ne connait rien au Street Fighter- l'avait aidé à progresser.
L'espoir fait vivre comme on dit.
« Mais dis-moi, tu comptes rester à poil, ou tu vas finir par t'habiller ? J'ai peur que ça m'excite au final :/ ». Irrécupérable.
Masaru rougit sur le coup. Mais franchement, à quoi elle pense cette petite ? Les nipponnes et leurs mots directs (L') ! Il faut dire que ça lui avait quand même à ce petit Masaru. Oui, parce que comparait aux japonaises, les coréennes sont beaucoup moins... Violente ? Enfin surtout plus douce dans leurs propos. Ou alors, c'était juste Ban qui était comme ça.
Huh ! Je t'attends èé ! Mais si tu ça t'excites tu risque de perdre Haha ! Et puis d'abord, c'est toi qui a débarqué à l'improviste !
Masaru 1, Ban 0. Il est vrai que Masaru n'avait pas tort la dessus, elle avait débarqué comme ça, comme si de rien était. Ils seraient encore au Japon, ça n'aurait pas étonné Masaru de la voir débarquer comme ça, mais ici c'est légèrement la Corée, et dieu sait à quel point la nipponne aime ce pays... C'était choquant de la voir ici ! Point !
Mais ne rêves pas trop Masaru, Ban n'est certainement pas déstabilisé par ton caleçon.
Et puis tu sais, Ban elle dit ça pour te faire chier hein. Oui, parce qu'ils n'allaient pas se jeter l'un sur l'autre non plus. Des retrouvailles amicale, pas se... plus ! |
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| | Sujet: Re: Pocky, Street Fighter et Ballon Prisonnier [ PV Japan Dude ] | |
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